Vieux motard que jamais.
Partir, c’est pourrir un pneu.
Le frein justifie les moyeux.
Je penche, donc je suis.
La vitesse, c’est dépasser.
Atout moteur, tour d’honneur.
Faites la bourre, pas la guerre.
Loin des pneus, loin du cœur.
Il faut bien que vitesses se passent.
Le talus n’attend pas le nombre des années.
Il n’y a pas de chute sans gravité. (Isaac Newton, 1665)
Noël en Monstro, Pâques à l’hosto !
Aujourd’hui est un beau jour pour pourrir.
Genou par terre… Motard en bière !
Le motard des uns, fait le malheur des autres.
Soit bielle et tais-toi !
L’agent ne fait pas le bonheur.
Il n’y a pas de fumée sans pneu.
Rien ne sert d’ouvrir, il faut partir à point.
Noël aux bastons, plaque d’immatriculation.
Ni Dieu, ni chronomètre.
Toute panne mérite galère.
Dans toute gomme, il y a un poinçon qui sommeille.
Honni soit qui mal y penche.
Le deux-temps c’est de l’argent.
Dans le mazout, abstiens-toi.
Du pain, du vin et du bourrin.
Mouche ton nez et dis bonjour au macadam.
Piston heureux n’a pas de chemise.
La clé à molette est mère de toutes les vis.
Malagutti ne profite jamais.
Qui freine bien arsouille bien.
Un bon frein vaut mieux que deux sparadraps.
A chaque jour suffit sa pelle.
Loin des feux, loin des burnes.
Souviens-toi du vase d’expansion.
Avec Ducat’, ça passe ou ça casse.
Gasoil du matin, gadin gasoil du soir, désespoir.
Abondance de freins ne nuit pas.
Je vous parle d’un deux-temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître
Au garage ! Oh désespoir, oh vielles pièces toutes pourries !
j'aodre l'agent ne fait pas le bonheur et Le frein justifie les moyeux.